SANS TITRE, OHNE TITEL, UNTITLED.
IL ARRIVE QUE LA FORME SE NOMME ELLE-MÊME, SE RACONTE À VOUS – MÊMES, ET CE SERA POUR CHACUN UNE AUTRE HISTOIRE. C’EST LA RÈGLE, IL N’Y A PAS DE RÈGLE. S’IL N’Y A PAS DE TITRE, NE CHERCHEZ PAS, C’EST QU’IL N’Y A RIEN À DIRE, À DIRE CE RIEN.MAIS IL Y A À VOIR. J’ESPÈRE QUE CELA SUFFIT.
D’un chemin qui commence avec un bout de papier, puis deux quand il est déchiré, de dé-figuration en abstraction, l’ A4 a pris du volume, s’est déployé, le mur ne suffit plus.
Le geste conduit à l’œuvre, puis à la suivante. toute autre, autre matériau. l’étiquette est étriquée. La cohérence se drape de vertu, que j’entaille à coups réguliers, répétés, répétés. Je tire le fil. Multimedia